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eglise saint remy - Page 13

  • LE CHEF D’ORCHESTRE DE VANVES : MARTIN BARRAL (Suite et fin) - 30 ANS DE PASSION POUR LA DIRECTION D’ORCHESTRE

    Qui ne connait pas ce vanvéen pur souche qui berce, trop peu souvent, nos dimanches en fin d’après midi, en tous les cas pour les mélomanes, généralement dans son lieu de prédilection : l’église Saint Remy. Voilà 30 ans, il créé avec une bande de copains du conservatoire de Caen, une formation musicale, De Musica, qui a commencé à jouer à Vanves en 1987 et dont l’histoire vous a été conté hier. Le Bog de Vanves Au Quotidien  continue aujourd’hui avec l’orchestre symphonique d’Orsay qu’il a intégré en 1998.

    Pour l’intégrer, Martin Barral a dû participer à un concours de « chef », ce qui est très rare  - « un tous les 10 ans » -  très peu démocratique   - « organisé généralement par un réseau international entre chefs qui se connaissent » – très compliqué  -  « qui peut les juger ?  pas les politiques,ni les musiciens, ni les autres chefs parce que ce sont des concurrents » -  surtout en France – « parce qu’à l’étranger c’est courant » -  mais  aussi une aventure un peu particulière : « Quelqu’un m’a appelé pour me dire « on cherche un chef à Orsay ». Pour moi, c’était le musée, même pas la ville car je n’avais pas fait le rapprochement. Je savais pas qu’il y avait une salle de concert. Il me dit « faut vous dépêchez parce que le 1er tour est déjà passé ! ». J’appelle le président : « ce n’est pas la peine ! Il y a déjà plein de chef, très très professionnels ! Je ne sais pas comment on va faire ! C’est très compliqué pour nous ! ». J’ai envoyé mon CV, et surtout mes disques qui m’avaient fait faire quelques plateaux TV chez Ruggieri, Bouillon de Culture. Ils ont regardé, écouté  et m’ont appelé pour m’inviter à venir directement au 2éme tour. J’ai découvert  un orchestre pas en très bon état. Le 2éme tour était un entretien, le 3éme une composition, et le 4éme une épreuve de direction avec l’orchestre. Nous étions quatre. J’ai eu 19,3 et le second 12, et j’ai été retenu avec un contrat de 5 ans » raconte t-il  en ajoutant « C’est mon 4éme contrat de 5 ans qui a été renouvelé à l’unanimité. Et à chaque fois sans que je le sache, à bulletin secret… »

    C’est l’une des particularité de cet orchestre, où les musiciens, contrairement à ce qui se déroule en France,  ont  le droit à la parole,  parce que c’est un orchestre privé, sans institution, ni tutelle politique. « C’est un orchestre autogéré comme à Berlin, où les musiciens votent lorsqu’il y a un concours. Alors qu’en, France c’est l’inverse, car c’est l’autorité de tutelle qui décide. Souvenez-vous de la grande affaire de l’Opéra Bastille, réglé par le président de la République qui  a nommé le fils du producteur textile de P.Bergé, le célébre Chung venu de Corée. En tous les cas, Orsay pratique une très bonne méthode, et même la meilleure, parce que les musiciens sont les premiers concernés, même si ce n’est pas facile de juger quand on est musicien, parce qu’on n’a pas assez de recul » reconnait il en constatant qu’en France « on  fait les meilleurs musiciens  du monde en  individuel mais moins bon en collectif car l’esprit français est trop individualiste. Nous avons des solistes, des instrumentistes qui sont extraordinaires, quelquefois têtes brûlées, pas forcément ce que l’on demande dans les orchestres. A l’orchestre d’Orsay,  ce sont effectivement de très bons musiciens, pas forcément les meilleurs, mais ils ont tellement d’humilité et un sens du collectif que Dominique Ruiste qui a fait mon dernier concert à l’église Vanves, a adoré cette expérience parce qu’il a senti cette espéce de disponibilité d’esprit de ces musiciens qui l’a beaucoup impressionné »

    Et Vanves est l’un des lieux de prédilections de cet orchestre symphonique et notamment l’église Saint Remy « car elle sonne bien. Généralement, dans les églises cela sonne toujours trop sauf lorsqu’elles ne sont pas trop grandes, ce qui est le cas de Saint Remy.  Une salle qui sonne bien, met en valeur le son, pas trop pour entendre tous les instruments. Par contre elle ne sonne pas bien pour les discours. L’acoustique est une science inexacte. Donc c’est aussi une question de goût : Des musiciens aiment bien des salles très séches sans aucune réverbération, d’autres moins comme Pleyel avec une seconde d’échos ». En tous les cas,  « les concerts à Saint Remy sont une façon sûr  de faire fréquenter les églises à des gens qui ne vont pas forcément à la messe, et de leur faire découvrir ses belles peintures restaurées. J’ai adoré joué au Lycée Michelet dans le préau et dans la cour des Pyramide où on a présenté ce conte musical qui racontait l’histoire du lycée Michelet avec ses 400 enfants, après un an de préparation. Et même le gymnase du Plateau : Ce n’est pas très beau à regarder, mais un gymnase sonne très bien. L’orchestre d’Ile de France qui joue dans les banlieues est souvent dans des gymnases » indique t-il en confiant qu’il est tenté de monter  un concert avec le nouvel orgue : « J’ai pris des contacts avec l’organiste. Il a prévu un concert espagnol en 2014/15 »

    Ainsi Martin Baral, c’est 30 ans de passion pour la direction d’orchestre alors qu’il s’était destiné à être violoncelliste : « Quand j’étais dans un orchestre, à chaque fois, j’écoutais très attentivement ce que disait le chef. Cela  me passionnait, de voir avec son bras, son bâton, ou avec deux mots,  arriver à transformer le son. Certainement cela me concernait, plus que peut être certains autres. Je n’avais absolument pas la prétention que je pouvais le faire un jour : me mettre debout et dire aux musiciens « voilà comment vous devez jouer à partir de maintenant ». Certains chefs disent que c’est un métier qui ne s’apprend pas. Si vous n’êtes pas fait pour cela, vous ne le serez jamais, quel que soit le travail que vous faites ! C’est une vocation. Et j’ai surtout eu de la chance : D‘abord Philippe Aïche, ensuite l’orchestre Lamoureux pendant 15 ans où j’ai énormément appris, enfin en regardant ce que faisait les autres : j’ai été écouter les répétitions de l’orchestre de Paris lorsqu’il y  avait Philipe Aîche, en étant au 4éme rang avec la partition et en écoutant tout ce que disait le chef. Après il y a toutes les études d’harmonie, d’analyses…. »

    Sous sa direction, pendant 16 ans maintenant,  l'orchestre d'Orsay qui a été créé en 1976, a progressé dans tous les domaines et accédé à un répertoire plus ambitieux, avec notamment le « Requiem » de Verdi ou « Sheherazade » de Rimsky-Korsakov. Chaque année, il donne une  quinzaine de représentations à Orsay, dans la Région parisienne, dans des festivals en Province… et même en chine où il a fait une tournée à Pékin et Yinchuan. Ses 70 musiciens, tous amateurs, à l’exception du chef, répètent tous les mardis soir dans l’amphi de Maths de la fac d’Orsay. Son répertoire est très large car en trente ans d'existence aucun genre musical n'a été ignoré. Martin Barral lui a permit d'aborder le grand répertoire symphonique, et de progresser dans tous les domaines en accédant à un répertoire plus ambitieux, avec notamment le « Requiem » de Verdi ou « Sheherazade » de Rimsky-Korsakov. Il a donné, en 2001, en création une œuvre de Piotr Moss, « Le Petit Singe Bleu », commande du Ministère de la Culture qui a fait ensuite l'objet d'un CD.  En 2014, il a inscrit à son programme des oeuvres de Saint-Saëns : Ouverture de Spartacus, Rêverie du soir à Blida (extraite de la Suite Algérienne), Bacchanale (extraite de Samson et Dalila) et enfin le Requiem, en version originale avec des chœurs. A découvrir le 22 Juin à 15H à l’église Notre Dame du Travail, le 28 Juin à 21H à Saint Clothilde et le 30 Juin à 21H à Saint Christophe de Javel à Paris

  • LES RENDEZ VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE SANS SECOND TOUR MAIS DE CAREME

    Et pendant les élections municipales, la vie continue à Vanves ! Heureusement. Le maire a donné quelques bonnes nouvelles concernant Vanves, notamment le quartier du Clos Montholon : Lidl devrait s’agrandir, une créche  parentale devrait s’ouvrir dans les locaux occupés auparavant par le CAUE 92 et une entreprise high tech de 15 personnes devrait s’installer dans le quartier. Vanves et sa communauté catholique devrait accueillir, dans le cadre du Carême,  mercredi soir un compagnon de route du père Jerzy Popieluszko lorsqu’ils étaient ensemble au séminaire, pour parler de la foi dans les pays de l’Est de l’Europe et notamment des jeunes. Ainsi  qu’ Henri de Rohan-Csermak, titulaire du grand orgue de Saint Gemain l’Auxerrois qui donnera un concert dans le cadre de l’inauguration de l’Orgue de Saint Remy auquel il a participé en tant que conseiller de l’ARIAM 92

    Lundi 24 Mars

    A 19H30 à Panopée (Festival Artdanthé) : « Piranha » de Wagner Schwartz qui est une métaphore du corps en réclusion

    A 21H au théâtre (Festival Artdanthé) : « Guillaume Perrret & The Electric Pic » : Un groupe qui mêle des thèmes ambitieux et des improvisations endiablées et dont la musique assume l’héritage de la pop progressive des annés 70, fusion de jazz, de funk et de métal.

    Mercredi 26 Mars :

    A 19H30 au théâtre (Festival artdanthé) : « Jeff Koons à Versailles » du collectf d’artistes interprétes « Production of Time cie » venant de différents pays d’Europe dont la ligne directriceest de concrétiser des œuvres d’artistes polémiques finalement avortées pour raison politique ou simple découragement. Là, il s’agit de la résurrection d’une satire acerbe du monde contemporain et de la complexité des rapports amoureux pour 8 interprètes à partir d’un événement : le projet original de Jeff Koons d’une comédie musicale pornographique dans la galerie des glaces du château de Versailles

    A 20H30 à à l’église Saint Remy : Conférence pour le Carême de l’AED (Aide à l’Eglise en Détresse)  par Mgr Ryszard Wasik(Prélat de sa Sainteté), compagnon du père Jerzy Popieluszko  (1947-84) au temps des bataillons de séminaristes » où les autorités polonaises tentaient de briser la vocation de futurs prêtres. Il avait traduit et adapté en français « Mon cri était celui de ma patrie » biographie de son ami Popielisszko. Il abordera  le théme : « Les saints et bienheureux en Pologne au XXéme siécle et les JM de Cracovie en 2106 », c'est-à-dire qu’il expliquera comment est vécue la foi dans ces pays de l’Europe de l’Est qui rejoignent l’UE et notamment parmi les jeunes

    A 21H à Panopée (Festival artdanthé) : « Cigue » une création de/et interprété par  Eric Arnal Burtschy, en résidence au théâtre Le Vanves.   

    Vendredi 28 MARS

    A 19H30 à Panopée (Festival artdanthé) : « Les fumeurs noirs » création de Remy Yadan. Un travail scénique avec la participation de nombreux interprétes (comédiens, danseurs, musiciens, chanteurs…à) au croisement  de la performance et de la théâtralité.

    A 21H au Théâtre (Festival artdanthé) : « Une excellente piéce de danse »de Thomas Ferrand, en résidence au théâtre Le Vanves qui a créé un poéme scénique, avec du sexe, du feu et toutes sorts de théories.

    Samedi 29 Mars

    A 14H30 au Théâtre (Festival artdanthé) : « Hiemat, une chronique allemand » film avec projection des épisodes 1 à 6

    A 16H30 au PMS A.Roche : Match Expograph-Vanves contre Metro Football

    A 20H30 à l’église Saint Remy : Concert d’orgue donné par Henri de Rohan-Csermak, titulaire deu grand orgue de Saint Gemainl’Auxerrois qui nterprétera des œuvres de Bach, Sweelink, Couperin,

    Dimanche 30 Mars

    A 11H au Théâtre (Festival atdanthé) : « Hiemat une chronique allemande » film avec projection des épisodes 7 à 11.

    A 15H au PMS A.Roche : Match de Football Vanves- Colombienne 2

  • PARENTHESE SPIRITUERLLE DANS LA CAMPAGNE DES MUNICIPALES A VANVES : BENEDICTION DE L’ORGUE DE SAINT REMY PAR MGR DAUCOURT

    Durant ses jours intenses de campagne municipale, à J- 4 du 1er tour, il est heureux qu’il y ait ces quelques parenthèses où l’on s’aperçoit que la vie continue à Vanves. Comme ce fut le cas à l’église Saint Remy, Mercredi soir,  pour la bénédiction du nouvel orgue par Mgr Daucourt maintenant ex-Evêque du diocèse des Hauts de Seine devenu son administrateur apostolique, le temps que le pape François nomme son successeur. « Voilà 12 ans, lorsque je suis arrivé à la tête de ce diocése, j’étais à Vanves pour une rencontre inter-religieuse. Et l’une de mes dernières visites sur le terrain, est à Vanves pour célébrer la Saint Joseph et bénir ce nouvel orgue. Il n’est pas fréquent dans cette République qu’un Evêque bénisse quelque chose dont la ville est propriétaire » a-t-il fait remarqué, avec beaucoup de malice, comme à son habitude, après avoir salué au début de la messe la présence des autorités et élus dont le maire et la sénateur. « C’est aussi une démarche de foi qui complète le concert inaugural » a-t-il ajouté en rendant hommage au travail de l’association pour le renouveau des orgues de Saint Remy.

    Ce 19 Mars 2014 était en fin de compte le point d’orgue de cette restauration de l’église Saint Remy, et notamment de son intérieur. Et tout le monde se souvient de ce dimanche de Janvier 2009 où l’autel fut consacré lors d’une très belle cérémonie, à laquelle il est rare d’assister. Comme ce fut le cas mercredi soir pour cette bénédiction de l’orgue que l’on n’a pas entendu jusqu’à ce qu’il soit béni, après l’homélie, les chants étant à capella. Mgr Daucourt était entourée par les acteurs, même ceux que d’autres missions ont appelés ailleurs, qui ont participé à ce renouveau : les péres Morel et  Pincé étaient présents auprés des péres Hauttecoeur et Bouleau, avec un rappel des noms de ceux qui ont rejoint la maison du pére : JF Robert, Mgr Deniau, le pére Thirion

    Mgr Daucourt  a dit la prière de bénédiction : « Dieu, qui a rendu l’homme capable d’exprimer par la musique, sa joie, et sa peine, nous te prions : Daigne bénir cet orgue grâce auquel nos coeurs et nos voix seront davantage unis pour te célébrer. Daigne aussi bénir tous les musiciens qui le feront sonner : Que ton esprit les insipre afin qu’ils rendent gloire à ton nom et soutiennent le chant de l’assemblée. Et comme cet instrument ne fournit qu’une seule musique à partir de la multitude de ses tuyaux et de la richesse de ses timbres, fais de tous les membres de ton église, un seul peuple, le corps de ton Fils, lui qui règne pour les siècles des siècles ». Il a encensé cet orgue en s’avançant dans l’allée centrale, puis de l’autel, dans le silence de tous, il l’a interpellé « Eveille toi, orgue instrument sacré ! Entonne la louange de notre créateur et notre pére ». Et les premiers sons se sont alors élevés. II a continué à l’interpeller, détaillant la diversité de ses fonctions dans son ministére, par huit fois, suivi par le chant de l’orgue grâce à une improvisation de l’organiste ou une pièces musicale qui illustre l’interpellation faite : « Orgue, instrument sacré »… « célèbre la louange de Dieu, notre créateur et père », « chante l’esprit saint qui anime nos vie du souffle de Dieu », « élève nos chants et nos supplications vers Marie la mère de Jésus », « fais entrer l’assemblée des fidèles dans l’action de grâce du Christ », « apporte le réconfort de la foi à ceux qui sont sans la peine », « soutiens la prière des chrétiens », « proclame Gloire au Père, et au Fils et au Saint Esprit ». Et les fidèles de chanter alors unanimement le Seigneur en étant soutenu et renforcé par l’accompagnement de l’orgue : « Jubilez, criez de joie, par le Fils et dans l’Esprit, Dieu nous ouvre un avenir ! Jubilez, criez de joie, il nous donne par la foi, un amour qui nous fait grandir ».  

    Il parait, pour la petite histoire que ces invocations viennent d’une idée de Bernard Gavoty, organiste des Invalides qui prétendait qu’elles provenaient d’un rituel gallican du XVIIIéme siécle qui n’a jamais été retrouvé, et reprise par la suite, dont les expressions surannées et peu lithurgiques ont été réécris dans un langage convenant mieux à une célébration d’aprés Vatican II et intégré dans une action lithurgique complète qui n’existait pas dans l’ancien rituel. Et ils prirent place dans le très officiel Livre des Bénédictions de l’Eglise Catholique de rite romain qui contient quantité de bénédictions de personnes ou d’objets. Mgr Daucourt n’a pas raconté l’origine de ces invocations mais a surtout parlé de Saint Joseph  dont c’était la fête, en faisant remarquer que le pape François a célébré sa première messe de souverain pontife lors de la Saint Joseph 2013. Il a raconté que ce pére adoptif s’était fait du souci pour Jésus. Dieu lui avait demandé de le protéger, d’en prendre soin. « Mais qu’est-ce que c’est aujourd’hui de prendre soin ? » s’est il interrogé, avec à un moment de son homélie, une allusion aux élections municipales, bien sûr, car ne n’oublions pas, cet evêque là ne connaît pas la langue de bois : «  Je ne vois pas en quoi un chrétien peut s’abstenir. Choisir un homme ou une femme qui prendra soin des autres, des habitants d’une commune, est important. Quel que soit celui qu’ils choisiront ». Il a invité « les fidèles à estimer hautement cet orgue à tuyau dont le son son admirable peut aider à élever l’âme pendant les cérémonies. Nous ne faisons pas de l’orgue un instrument de prosélytisme. Nous devons nous réjouir de ce que celui qui l’écoute peut devenir. Bénir veut dire du bien !  ». Cette cérémonie  s’est terminé par de spplaudissements, l’assistance ayant été invité par l’Evêque à saluer l’orgue mais aussi son organiste titulaire Loic de Lacombe,  qui a interprêté une toccata & fugue en ré mineur de J-S Bach à la fin. Tous les paroissiens se sont retrouvés autour d’un pot amical organisé par l’association pour le Renouveau des Orgues de Saint Remy.